Françoise Leclercq, avant son mariage

Points de repère Françoise Leclercq avant son mariage

Françoise Leclercq est née le 2 mars 1924 à la ferme de Noël. Elle a été baptisée le 6 mars, soit quatre jours après sa naissance, en paroisse de Saint Loup, à Brienon-sur-Armançon, une commune rurale située dans l’Yonne, à 25 km au nord d’Auxerre.

Enfance heureuse dans la ferme de ses parents, avec un père cultivateur Michel (1889), et une mère Germaine (née Chamard en 1891) s’occupant de tout le reste.

Éducation studieuse à l’école Saint Loup de Brienon où elle côtoie Marie-Edmée (Marlot), son amie et sa future belle-sœur.
Envoyée en 1935, à l’âge de 11 ans, à l’institut de la Tour (Notre Dame de la Tour à Conflans Saint Honorine) pour finir son parcours éducatif. Elle y sera pensionnaire, contre son gré, jusqu’en 1939. Elle refusera plus tard toute idée de pensionnat pour ses enfants, même les plus turbulents.
Retirée du pensionnat en 1939, elle ne finira pas sa scolarité à son grand regret. Pour parfaire son éducation, elle aura avec sa sœur Jacqueline une préceptrice, Pétunia.
Elle passe la période de la « drôle de guerre » à la ferme de Noël, bien entourée par les Marlot (Marie-Edmée et Bernadette) et les cousins Chapuis (Jacques, Jean, Aliette et Michel).

Françoise Leclercq, au sujet de sa scolarité

L’album 1937-1947 retrace la période de sa vie de jeune fille et de jeune femme précédant son mariage en 1947, dans le contexte inédit de la Seconde guerre mondiale.

1928 – Gabriel et Françoise dans leurs habits de fête
1938 – Françoise née Leclercq
1932 – Françoise Leclercq et Marie-Edmée Marlot au collège de Brienon
1936 – Françoise à Notre-Dame de la Tour

3 thoughts on “Françoise Leclercq, avant son mariage”

  1. Claude LECLERCQ

    Bravo et merci ! Très intéressant et très bien fait. Excellente idée d’avoir inséré un témoignage sonore.

  2. Anne Recorbet (Leclercq)

    Beau travail sur tout l’ensemble de ce site.
    Je suis plus sensible à ce dossier, j’y retrouve des souvenirs communs avec mes parents et je découvre des photos que je ne connaissais pas, entre autre celle de l’école saint Loup à Brienon où ma mère côtoie tante Françoise.

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